je sollicite votre aide malgré que j'ai pas encore 50 messages

Je suis entrée en communication, je me suis retrouvée près d'une rivière. Le petit était juste là, entrain de laper doucement l'eau. Il me regardé, calmement. Je lui aie demandée si il était vivant. Il m'a répondue " Non, je suis décédé. Mais je n'ai pas eu mal. " Il dit que le gros chien, un gros chien avec une large tête et de grosses babines, haut sur patte, l'a tué d'un coup. Il n'a pas souffert.
Il est triste de ne pas avoir pu te dire au revoir. Il pense très fort à toi, et il t'aime beaucoup. Je lui ai dit que tu l'aimais aussi, et j'ai sentis beaucoup d'amour. Il dit qu'il sera toujours à tes côté, et qu'il ne t'oublie pas.


Je suis désolée

Je ressens de l'incompréhension, de la détresse, de la déstabilisation. Il n'est plus en terrain connu, il a peur très peur!
Je le contacte, et il saute en l'air en poussant un japement aigu de frayeur. Je le calme, en illuminant mes mains de lumière. Il tremble. Ça ne me semble pas un courageux, ou il en a simplement trop vu. Je lui chuchote doucement pour le calmer. Là je remarque les alentours, le tout est brouillé, comme sous l'eau, c'est très coupé du monde.... Je pense sincèrement qu'il est passé de l'autre côté du voile. Ou à chemin entre deux mondes. Je lui demande ce qui s'est passé. Je vois des gants noirs qui surgissent, très grands, et haut, comme des gants de jardinage... Les gants du vétérinaire! Voilà, ça me rappelle les gants des vétérinaires pour manipuler des animaux agressifs! Ils l'ont prit, il a tellement paniqué, j'ai l'impression que son coeur a lâché.... Il avait des faiblesses cardiaques? Ou y a-t-il des faiblesses cardiaques dans la race?
Il tremble, sous ces souvenirs qui reviennent. Tout allait trop vite, trop vite, me dit il. «Je veux pas partir, je veux pas, je veux pas! Je veux rester, rester, rester! S'il te plaît, s'il te plaît, laisse moi rentrer à la maison!». Il couine, et s'agite sur ses pattes. Il aplati la tête vers le sol, en signe de soumission, comme pour m'implorer de le laisser revenir à la vie. Je suis peinée, et lui explique que je ne peux pas. Il pousse un jappement. NON!! Je veux pas!! Je veux pas!!

J'ai déjà oublié à quoi il ressemble... Pour moi, ça veut dire qu'il est totalement détaché de son corps physique, même pas encore dans notre "dimension", mais carrément ailleurs, perdu! Je le visualise comme une vague forme brunâtre, il n'a pas vraiment de consistance... Il est loin, très loin de son corps physique... merde, je me demande si son corps n'a pas été déchiqueté, ou brûlé, détruit quoi, pour qu'il ne le "conserve" pas dans l'esprit :s

Je vais tenter de le guider vers la lumière... Il vient de japper. Non non non! Il ne veut pas que j'intervienne, il sait que si je le fais, il sera trop tard. Il tourne sur lui même. Non non non!
Bon, je vais utiliser une de mes techniques. Je m'assied au sol, étend mes mains autour de moi. Amour, Harmonie, Lumière. Je me transforme en amour pur, amour inconditionnel, afin de le laisser approcher. personne ne résiste à cet appel, personne ne lui tourne le dos, tout le monde veut communiquer. J'essaie, par ce procédé, d'interpeller la partie la plus profonde et enfouie de ce loulou, celle qui sait ce qui est bon pour lui, celle qui ne demande qu'à communiquer Amour avec moi. Voilà le topo.

Rapidement, je le sens se loger sous la paume de ma main droite, puis se rouler en boule sur le sol, ma main sur sa tête, comme pour le recouvrir. Il sait que 4a doit être fait, il ne peut s'empêcher d'avoir peur de l'inconnu. Je refuse de faire quoique ce soit tant qu'il a peur. «Tu dois accepter la lumière de toi-même», je lui dit. C'est très important. «J'ai peur», gémit-il. Alors je fais baisser l'intensité lumineuse de mon corps, pour que ce soit une lumière plus douce, qui s'accorde à la sienne. On résonne ensemble. Nous somme parfaitement accordé, et il se sent rassuré. Se sentir avec une énergie connue, est toujours plus rassurant.
«Tu lui diras que je regrette, hein? ». Oui. «Et que je suis désolé. Pour les dommages». Je suis sûre qu'elle ne t'en veut pas mon petit. «Je sais, elle me l'a dit. Mais je suis désolé quand même. Je l'aime. Très fort. C'est elle qui m'a permis de tenir le coup. Je ne voulais pas la quitter, la décevoir. Finallement je l'ai fait, je suis tellement désolé». Ne le sois pas, tu n'es pas maître de la Vie et de la Mort. Mais tu peux la retrouver tu sais. Une fois que tu te seras reposé là-haut. Ne t'inquiète pas.
Il s'illumine, soudain confiant et heureux. La perspective lui ouvre un horizon d'espoir. C'est le moment.

Voilà. Je viens de le transformer en lumière, i s'est éparpillé dans le monde dans des étincelles d'amour. Il va bien, il est de l'autre côté à présent. Je vais le laisser un moment, j'ai l'impression que ces premiers temps sont super importants.