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 Les 10 plus gros mensonges sur la vaccination

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Persée
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Les 10 plus gros mensonges sur la vaccination Empty
MessageSujet: Les 10 plus gros mensonges sur la vaccination   Les 10 plus gros mensonges sur la vaccination Icon_minitimeJeu 20 Déc 2012 - 0:57

Citation :
Sylvie Simon est écrivain et journaliste. Elle a écrit de nombreux ouvrages et combat les idées reçues en explorant divers domaines de la science, et consacre la plus grande partie de son activité à militer contre la désinformation en matière de santé et d’écologie, sujets de brûlante actualité.

Elle a déjà publié plusieurs essais sur des scandales (sang contaminé, vaches folles, amiante, hormones de croissance, vaccins, etc…), générés par la corruption de certains milieux et d’experts dits scientifiques.

Il y a deux histoires : l’histoire officielle, menteuse…
puis l’histoire secrète où sont les véritables causes des évènements, l’histoire honteuse »

Erreur, approximations, mensonges délibérés, vérités partielles ou partiales, prédominance d’une seule pensée : peu de domaines aujourd’hui échappent à ces phénomènes »

Paradoxalement, la surinformation y contribue. Alors qu’on aurait pu espérer que la démultiplication de l’information s’accompagnerait d’une pluralité de points de vue, nous voyons au contraire proliférer cette pensée unique qu’il est de bon ton de dénoncer… sans pour autant qu’on lui propose de remède» (Olivier Clerc)

L’objectif de la collection n’est pas de remplacer une pensée unique par une autre : elle doit permettre au contraire d’aller jusqu’au bout de la réflexion sur un sujet où existent des informations divergentes, parfois même opposées.

Les ouvrages de la collection possèdent une bibliographie qui aidera à se documenter et à se forger par soi-même sa propreopinion.

Mensonges sur les vaccins

« Il existe trois sortes de mensonges : les mensonges, les sacrés mensonges, et les statistiques » Mark Twain

Les vaccins ne sont pas des médicaments et sont destinés à des êtres en bonne santé dans le but de prévenir une maladie hypothétique. Aussi, il serait normal que tout candidat aux vaccins reçoive une information honnête, précise et complète, sur les risques de la maladie dont il veut se protéger, mais aussi sur les risques qu’il court en se faisant vacciner. Or non seulement l’information, quand elle existe est tronquée et falsifiée, mais souvent elle est parfaitement mensongère.

Mais comme l’avait recommandé Joseph Goebbels, ministre de la propagande nazie, qui connaissait bien la question : « Répétez un mensonge mille fois, il restera un mensonge ; répétez dix mille fois, il deviendra une vérité »

C’est exactement ce qui se passe dans ce domaine, où des mensonges dix milles fois répétés sont devenus des dogmes qui déclenchent des crises d’hystérie dès lors qu’on ose les remettre en cause.

L’histoire de la vaccination est jalonnée de falsifications, de dissimulations et de mensonges.
Sylvie Simon a opté pour les dix plus gros flagrants, chacun ayant engendré des dizaines de plus petits mensonges.

« Le mensonge est rarement issu par génération spontanée d’une volonté déterminée à l’avance par quelque Machiavel. C’est bien plus souvent un glissement lent et fatal vers une erreur perçue, mais inavouée, l’orgueil se mêlant ici à la cupidité » Thierry Fenoy (avocat au barreau de Châlons-sur-Saône).

MENSONGE N° 1

Pasteur est un bienfaiteur de l’HUMANITE

« Tous nos problèmes actuels sont l’inévitable résultat de nos brillantes solutions d’hier » Henry Bergman

Bien que l’aventure de la vaccination ait commencé à la fin du XVIIIème siècle lorsque le médecin anglais Edward Jenner entreprit d’inoculer la vaccine, maladie spécifique des bovins, afin de protéger les hommes de la variole ou petite vérole, c’est Pasteur (1822-1895) qui reste le père de la vaccination et c’est avec lui qu’a débuté le long cortège de mensonges.

Cet homme brillant, intelligent et gros travailleur, était un expert en communication et se tenait au courant des travaux effectués par ses pairs. Sa tactique a toujours été la même : il savait reconnaître les bonnes idées mais commençait par les critiquer ouvertement, puis il se les appropriait sans vergogne en prétendant les avoir découvertes.

C’est ainsi qu’il est devenu un bienfaiteur de l’humanité et, surtout, un mythe intouchable.

Le dogme pasteurien est tellement ancré dans les esprits que rien n’a pu encore l’ébranler et les Français idolâtrent encore un imposteur.

D’une part, Pasteur a maquillé les résultats d’expérience qui ne lui étaient pas favorables, ensuite, il s’est approprié certains travaux d’autres chercheurs, dont Antoine Béchamp (1816-1908), l’un des plus grands savants du XIXème siècle, médecin biologiste, naturaliste, professeur de chimie médicale et pharmaceutique à la faculté de Montpellier et professeur de chimie biologique et de physique à l’Université de Paris, puis doyen de la Faculté libre de Lille.

Béchamp a démontré la véracité des vues de Claude Bernard sur la valeur du terrain propre à chaque individu et fut le premier à comprendre la cause microbienne des pathologies infectieuses.

Cependant, son œuvre est à peu près inconnue de nos jours, parce qu’elle a été systématiquement discréditée et falsifiée aux profits des intérêts personnels de Pasteur.

Dès l’école, nous apprenons que Pasteur « a sauvé le petit joseph Meister, mordu à la main par un chien enragé ». À vrai dire, il n’existait aucune certitude que le chien fut enragé car on ne signala aucune autre morsure ; de plus, quand bien même il l’aurait été, le risque pour le jeune Meister était infime, car un animal réellement enragé – ce qui est extrêmement rare – ne transmet la maladie que dans 5 à 15 % des cas.

L’affaire de la rage est l’exemple même des mensonges de Pasteur qui ont été répétés et introduits par ses admirateurs dans la mémoire collective, au point d’être devenus des vérités pour le commun des mortels.

Le vaccin de Pasteur, à base de moelle desséchée, était très dangereux et fut bien vite abandonné, et le jeune Meister a eu beaucoup de chance d’en réchapper.

L’histoire n’a retenu que le succès de ce vaccin, mais a oublié de dire qu’il avait multiplié les décès par la rage

Entre 1869 et 1872, Pasteur a énoncé trois postulats de base erronés qui servent encore aujourd’hui de fondement à la vaccination.
Le premier estimait que l’asepsie règne dans nos cellules : la cellule est propre, tous les microbes sont exogènes (c’est-à-dire qu’ils viennent de l’extérieur) et l’attaquent, et ces germes ont une existence indépendante des organismes vivants.

Le second est que chaque maladie correspond à un agent spécifique, microbe ou virus, contre lequel on peut se prémunir grâce à un vaccin.

Enfin, l’immunité s’obtient par la production d’anticorps en réaction à l’introduction d’antigènes contenus dans le vaccin et ces anticorps confèrent une protection.

Nous savons depuis longtemps que ces postulats sont faux, les découvertes en immunologie les contredisent totalement, mais les vaccinalistes font mine d’ignorer ces travaux.

MENSONGE N° 2

Il faut ERADIQUER LES microbes et LES virus

« Il est étrange que la science qui jadis semblait inoffensive,
se soit transformée en un cauchemar qui fait trembler
tout le monde. » A . Einstein

Nous vivons en symbiose avec les microbes et si nous les considérons comme nos ennemis, nous entrons dans une logique de guerre qui met en péril notre système immunitaire.

Les bactéries maintiennent notre équilibre biologique et ne deviennent pathogènes que lors que notre système immunitaire est perturbé et ne remplit pas ses fonctions. Quant aux virus, ils se reproduisent uniquement à partir de leur matériel génétique et ne sont que des parasites des cellules.

Notre corps peut abriter de nombreux virus sans que nous ne soyons malades.

Il est donc essentiel de comprendre que les microbes et les virus ne sont pas des ennemis qu’il faut éradiquer à tout prix et que seul importe le terrain que nous devons préserver de ses véritables agresseurs.

A la naissance, le système immunitaire n’est pas encore complètement élaboré et, pendant les premiers mois, le nourrisson est protégé par les anticorps transmis par sa mère. Cette immunité héritée est remplacée par une immunité personnelle au fur et à mesure que l’enfant rencontre des germes, microbes ou virus, particulièrement grâce aux maladies infantiles.

C’est pour cette raison que les vaccinations apparaissent comme des éléments perturbateurs incontrôlables.

Le Pr J. Tissot, professeur de physiologie générale au Muséum d’histoire naturelle, nous mettait déjà en garde bien avant l’overdose vaccinale actuelle : « L’immunité par vaccination ne s’acquiert qu’en conférant à l’individu la phase chronique de la maladie qu’on veut précisément éviter, phase chronique qui comporte, dans un avenir proche ou très éloigné, de redoutables complications ». Pr J. Tissot (Constitution des organismes animaux et végétaux, causes des maladies qui les éloignent).

De toute manière, les vaccinations ne procurent pas la même immunité que les maladies et les taux d’anticorps évalués après les vaccinations sont généralement inférieurs à ceux qui sont évalués après les maladies.

De plus, l’immunité conférée par la maladie est définitive, ce qui n’est pas le cas pour la vaccination, dont la protection, si protection il y a, est limitée dans le temps, ce qui entraîne un retard dans la survenue des maladies, lesquelles sont beaucoup plus graves chez la population plus âgée, avec une mortalité multipliée par dix.

MENSONGES N° 3

Les EPIDEMIES ont disparu GRÂCE aux vaccins

« L’opinion actuelle se maintient par la presse, la propagande et les moyens financiers mis à sa disposition ».
Dr Albert Schweitzer

Nombreux sont ceux qui estiment que la plupart des épidémies ont disparu grâce aux vaccinations et qui refusent de mettre en doute leur efficacité. Pourtant, certaines épidémies qui ont ravagé nos pays ont bel et bien disparu sans aucun vaccin, ce que les partisans des vaccins font mine d’ignorer.

Mais lorsqu’on montre les courbes de décroissance des maladies, elles débutent au moment des campagnes de vaccination et non des années ou des siècles plus tôt, ce qui nous permettrait de constater que la diminution de ces maladies a commencé bien avant l’introduction du vaccin. D’ailleurs, la plupart des médecins l’ignorent, et les partisans de la vaccination s’appuient sur ces statistiques, pour la plupart tronquées et donc inexactes, pour « prouver » l’efficacité des vaccins, quand ils ne se bornent pas à la seule affirmation péremptoire que n’étaye aucune sorte de démonstration.

Ils ne se demandent jamais pourquoi ces épidémies ne continuent pas de sévir dans les pays qui n’ont pas pratiqué les vaccinations ou qui les ont abandonnées, tout comme ils semblent ignorer que l’épidémiologie et la presse scientifique internationale attestent que des épidémies se déclarent encore dans les pays où la couverture vaccinale est presque totale.

Les immunologistes s’interrogent sur les poussées épidémiques qui surviennent dans les populations vaccinées contre la rougeole, la polio, la tuberculose, la diphtérie et la coqueluche.

Ce constat est évidemment embarrassant pour eux car, à l’évidence, il s’agit d’une faillite de la vaccination.

Dans Médecine praticienne (N°467), le Pr Lépine constatait à son tour : « Dans plusieurs pays en voie de développement, on s’était imaginé qu’avec une seule campagne de vaccinations, on arriverait à résoudre le problème. Or, dans plusieurs de ces pays, la fréquence de ces maladies a augmenté, allant même jusqu’à quintupler depuis la vaccination »

MENSONGE N° 4

Vacciner un enfant c’est le PROTEGER

« S’il n’y avait que les vrais malades à soigner, la médecine serait en situation économiquement difficile. Il faut donc convaincre l’ensemble de la population qu’elle est potentiellement malade et vendre des médicaments à ceux qui n’en ont pas besoin » Pr Didier SICARD chef du service interne à l’hôpital Cochin, président du Comité national consultatif d’éthique

Un enfant de parents en bonne santé naît avec un potentiel remarquable et développe progressivement son immunité. Il est parfaitement capable d’affronter l’épreuve des maladies infantiles qu’il ne faut pas redouter autant qu’on le prétend. Les parents anxieux pensent que les vaccinations sont une panacée et qu’elles éviteront les maladies de leurs enfants.

Les vaccinations affaiblissent considérablement le terrain. Les maladies aiguës, incapables de s’exprimer, peuvent se développer de façon larvée, insidieuse, faisant le lit de maladies chroniques souvent graves et inguérissables.

Il ne faut donc pas redouter les maladies infantiles, rester serein, et aider l’enfant à surmonter cette légère épreuve.
Comme le disait déjà Hippocrate : « Le corps fait une maladie pour se guérir »

Il est évident qu’il faut surveiller l’évolution des maladies infantiles afin de ne pas commettre d’imprudences qui pourraient entraîner des complications chez les enfants fragiles ou prédisposés à certaines pathologies. Paradoxalement, ce sont ces enfants qui manifestent les effets secondaires les plus graves après la vaccination.

Les vaccins empêchent parfois l’éclosion des maladies pour lesquelles ils sont prévus, mais ils facilitent l’émergence d’autres maladies, car le terrain est affaibli et se laisse assaillir par des germes qui prolifèrent et deviennent virulents.

Les vaccins de routine effectués dans l’enfance grèvent le patrimoine héréditaire et l’empêchent d’apporter une protection efficace à l’individu pendant toute sa vie.

MENSONGE N° 5

Les accidents VACCINAUX sont exceptionnels

« Le seul vaccin sûr est un vaccin qui n’est jamais utilisé » Dr James A. Shannon (membre du national Institute of health)

Ce mensonge est monumental. Aucun vaccin n’est jamais sûr à 100%, personne n’oserait prétendre le contraire. Cependant, en France, chaque fois que le Ministère de la santé est attaqué dans le cadre des accidents vaccinaux, il oppose l’absence de lien direct entre la vaccination et l’accident, parlant de simples « coïncidences ».

Comme il est très difficile de démontrer un lien de cause à effet, surtout quand la mauvaise foi s’en mêle, cette complexité aboutit à faire porter aux victimes tout le fardeau de la preuve.
Ainsi les autorités se refusent-elles à enregistrer comme « réactions vaccinales » les accidents malheureux qu’on présume être le fruit du hasard. Faute de preuves juridiquement défendables, nombre de complications vaccinales ne sont pas rapportées officiellement. Il serait plus logique et plus moral que ce soit les laboratoires qui apportent la preuve que leurs substances ne sont pas dangereuses. Mais cela semble impossible étant donné les falsifications, de plus en plus reconnues de leurs essais sur leurs produits.

Nos voisins de la CEE sont beaucoup plus honnêtes dans leur déclaration d’accidents. Aux Etats-unis, depuis 1990, la loi oblige tous les médecins à déclarer les complications vaccinales. Aussi, de 1991 à 1996, on a officiellement enregistré 48743 complications vaccinales…

Alors qu’en France, nos pouvoirs publics clament sur tous les toits que les vaccins ne génèrent pas d’accidents secondaires, surtout chez les enfants.

MENSONGE N° 6

Le vaccin contre le TETANOS est indispensable

« Quand on a décidé d’être aveugle,
l’évidence cesse d’avoir cours »
A.Peyrefitte (l’Empire immobile)

Le tétanos n’est pas contagieux, il ne se transmet pas par contact d’individu à individu et- mention particulière – la maladie n’est pas immunisante. Dans son ouvrage La catastrophe des vaccinations obligatoires, le PR J. Tissot, qui n’était pas un gourou de secte, mais un authentique savant comme il y en avait autrefois, posait la bonne question : « puisqu’un malade guéri du tétanos n’est jamais immunisé contre une seconde atteinte, comment un vaccin pourrait-il mieux protéger de la maladie » ?

Le tétanos reste aujourd’hui une maladie grave, mais rare. Environ 50% des malades guérissent spontanément.

On estime que toute plaie, si minime soit-elle, expose au risque du tétanos, ce qui est faux. Il existe, en revanche, des tétanos en l’absence de plaie. Quant au tétanos néonatal, qui atteint le nouveau-né essentiellement dans les pays pauvres, il est dû au manque d’hygiène ombilicale à la naissance.

Il faut donc relativiser les choses et ne pas céder à la panique soigneusement entretenue par ceux qui encouragent la consommation vaccinale. Pourquoi vacciner systématiquement tous les enfants contre une maladie qu’ils ne rencontreront sans doute jamais ? Sous nos latitudes, les enfants n’ont pas de tétanos, alors pourquoi tous les vacciner ?

En matière de prévention, après une blessure, on avait coutume d’administrer de façon préventive du sérum antitétanique, afin de conférer une immunité passive.

Cette pratique est tombée en désuétude en raison de son inefficacité et de ses graves inconvénients, dont on ne parlait guère avant son abandon.

Aujourd’hui, quoi qu’il en soit, on impose systématiquement le vaccin en cas d’hospitalisation pour blessure.

Le tétanos n’est pas une maladie contagieuse susceptible de provoquer des épidémies, il est très difficile d’établir des courbes significatives d’évolution.
Ce sont les pays où la vaccination est le moins pratiquée qui présentent le moins de cas de tétanos. Il se trouve que la France détient le record de cas de tétanos après le Portugal, les deux seuls pays d’Europe où cette vaccination est obligatoire.

Pour qu’il y ait tétanos, il faut absolument que ces spores se retrouvent dans un tissu en anaérobiose. La multiplication bactérienne du tétanos ne peut se faire dans des tissus sains normalement oxygénés, car la présence d’oxygène dans les tissus vascularisés entraîne instantanément la mort des bactéries. Il est donc impossible de trouver le bacille du tétanos dans les tissus normaux, bien irrigués.

C’est pour cette raison que la plupart des piqûres ou blessures septiques n’entraînent pas la maladie. C’est pour cela aussi que le tétanos menace davantage les gens âgés, car leurs tissus sont parfois mal vascularisés, nécrosés, atteints de phlébite et de mauvaise circulation.

La vaccination antitétanique est dirigée contre la toxine secrétée par le bacille, mais pas contre le microbe.

Le Dr Méric précise : « Le système immunitaire se trouve entièrement dans la circulation sanguine, dans le sang. Aussi bien, les cellules qui forment les anticorps que les anticorps eux-mêmes appartiennent à ce monde aérobie.

Tout le langage du système immunitaire appartient à ce monde aérobie. Le transport des anticorps se fait entièrement et uniquement dans la circulation sanguine et lymphatique, c’est-à-dire en aérobiose. Les plaies tétanigènes sont nécessairement et obligatoirement anaérobies donc les microbes et la toxine du tétanos et les anticorps antitoxines ne peuvent se rencontrer »

D’après lui, il est absolument impossible que les anticorps rencontrent le bacille ou sa toxine, ce qui semble imparable.

De la sorte, le vaccin contre le tétanos n’est pas du tout efficace, mais il peut toutefois être responsable de sérieux et nombreux désordres post-vaccinaux.

Les traitements non officiels reposent sur le chlorure de magnésium dont on connaît l’efficacité dans les états infectieux (diphtérie, tétanos, polio) grâce aux travaux du Dr Neveu, élève du PR Delbet. Le Dr Neveu avait rédigé un rapport sur les guérisons qu’il avait obtenues chez des personnes atteintes de diphtérie et le Pr Delbet voulut présenter ce rapport à l’Académie de Médecine, mais il se heurta à une opposition farouche de la part du corps médical.

Dans une lettre au Dr Neveu, en date du 16 novembre 1944, il révélait : « La publication de ma communication du 20 juin est définitivement refusée. Le Conseil de l’Académie a trouvé après 6 mois de réflexion, l’argument suivant : en faisant connaître un nouveau traitement de la diphtérie, on empêcherait les vaccinations et l’intérêt général est de généraliser ces vaccinations. »

Voilà un exemple flagrant de mensonge par omission : les chercheurs indépendants qui trouvent des solutions efficaces et peu coûteuses, mais qui s’écartent de la voie autorisée, sont condamnés au silence.

Il ressort de ce rapport que l’Académie de Médecine a décidé délibérément d’étouffer un traitement qui aurait pu sauver des milliers de vie, mais qui aurait risqué de concurrencer les vaccins. Voilà qui donne une idée des puissants intérêts qui dictent sa conduite à l’Académie.

MENSONGE N° 7

EVITEZ la grippe en vous faisant vacciner

« L’opinion actuelle se maintient par la presse, la propagande et les moyens financiers mis à sa disposition. »
Albert Schweitzer

Chaque année à l’automne, les médias payés par l’industrie pharmaceutique lancent des campagnes publicitaires pour inciter les personnes âgées à se faire vacciner contre la grippe. Et pour mieux attirer le consommateur, ils prétendent que c’est gratuit. Voilà déjà un premier mensonge, car tout le monde sait que rien ou presque n’est gratuit ici-bas, et que les laboratoires ne sont pas des mécènes. Les vaccins « gratuits » sont évidemment payés par les usagers sous forme de prélèvements de la Sécurité Sociale.
Mais tout cela ne serait pas trop grave si ce vaccin était efficace.

En 1993, la Caisse d’Assurance Maladie de Loire-Atlantique a voulu étendre le bénéfice de la vaccination gratuite à 43000 assurés sexagénaires, et dû arrêter l’expérience en constatant qu’à cet âge les vaccinés consultaient plus et dépensaient plus que les non-vaccinés. Et le journal Libération du 11 octobre 1994 titrait : « les vaccinés contre la grippe coûtent plus cher à la Sécu ».
L’article précisait : « Les vaccinés consomment plus de médicaments que les non-vaccinés. En novembre et décembre 1993, ils ont dépensé 23% de plus que les non-vaccinés (en consultation, visites, pharmacie). Quant à l’efficacité du vaccin, elle reste difficile à évaluer. »

D’ailleurs, très peu de médecins sont vaccinés contre la grippe. Ils sont bien placés pour savoir que ce vaccin est inutile.

Le Dr Anthony Morris, virologiste et ancien chef du contrôle des vaccins qui travaille avec la FDA, est catégorique : « Il n’existe aucune preuve que le vaccin contre la grippe soit utile. Ses fabricants savent bien qu’il ne sert à rien, mais continuent néanmoins à le vendre. »

Non seulement ce vaccin protège peu ou pas du tout, mais les mises en garde provenant de médecins ou de revues médicales réputées sont très nombreuses.

D’ailleurs, on recommande de faire au préalable un test cutané en milieu hospitalier sous surveillance, à proximité d’une unité de soins intensifs, avec de l’adrénaline à portée de main et un personnel médical et paramédical entraîné, ce qui n’est jamais fait, mais prouve la dangerosité du vaccin.

Parmi ses nombreux effets secondaires, il faut citer des péricardites aiguës, des problèmes cardiaques (infarctus), et des pathologies neurologiques : encéphalites, myélopathie, occlusion de la veine centrale de la rétine, paraplégie, radiculite, et la liste est loin d’être exhaustive.

Les recherches du Dr Hugh Fudenberg, fameux immunologiste américain, l’ont amené à établir un lien entre les vaccinations régulières contre la grippe et un risque croissant de la maladie d’Alzheimer.

MENSONGE N° 8

L’HEPATITE B est TRES dangereuse et s’attrape par la salive

« L’ignorance est la mère de tous les maux » Rabelais

C’est par un mensonge, qu’a été lancée la campagne éhontée en faveur de la vaccination contre l’hépatite B, dont la publicité a dépassé de très loin les arguments utilisés pour vendre du Coca-Cola.

Ce fut le premier mensonge, mais pas le dernier, loin de là ! Dès lors, les mensonges se sont succédés à une cadence rarement égalée auparavant dans le domaine de la santé.

Ainsi, Philippe Douste-Blazy, alors ministre de la Santé du gouvernement Balladur, n’a pas hésité à avancer les chiffres les plus farfelus, sans aucune base scientifique, mais qui avaient évidemment été soufflés par les marchands de vaccins : « L’hépatite B ce sont 40000 contaminations par an, touchant principalement les jeunes », osa t-il affirmer à Libération le 4 septembre 1994. Pouvait-il ignorer que les estimations officielles (Réseau National de la santé) se situaient autour de 8000 ?

Le Dr Christian Spitz, pédiatre et psychologue chargé de « l’information », n’a pas hésité à affirmer que 4 milliards d’individus étaient touchés par le virus. L’esprit critique aurait à ce point déserté la France ? Ce chiffre qui représente 70% de la population mondiale, devait effectivement affoler tout le monde, jeunes et vieux ! Cependant, personne n’a semblé relever l’énormité du mensonge, pas une seule voix ne s’est élevée pour protester officiellement. « Plus c’est gros plus ça passe », selon le dicton !

On peut aussi juger de la qualité des informations données aux adolescents en prenant connaissance d’une note interne, lumineuse, du laboratoire Pasteur-Mérieux : « Sur le marché de la vaccination, les adolescents sont un segment très porteur… Il faut dramatiser… faire peur avec la maladie ».

A lui seul, cet aveu aurait dû provoquer une remise en question du vaccin, puisque la « nécessité de vacciner » a été basée sur ces informations qui relèvent de la publicité mensongère.

Et c’est le laboratoire Pasteur-Mérieux MSD qui s’est chargé d’informer les médecins généralistes, avec toute l’objectivité qu’on peut attendre de quelqu’un qui est juge et partie. Dans cet élan, le laboratoire n’a pas hésité à éditer une plaquette affirmant : « la salive est un important vecteur de la contamination »

Avec la bénédiction du ministre de la Santé, les laboratoires Smithkline Beecham se sont alors introduits au sein des établissements scolaires pour y imposer, par la peur, un vaccin non obligatoire, mais que chacun croyait tel… Car aucun des tracts n’a jamais mentionné que la vaccination était seulement conseillée et non obligatoire.

En fait, cette OPA a été une parfaite réussite puisqu’au cours de l’année 1995, on a vacciné autant de personnes que pendant les quatorze années précédentes.

Avant toute campagne de vaccination, la fréquence de l’hépatite B était déjà réduite de 90%, principalement grâce au retrait des lots de sang contaminé. Et de cela, on s’est bien gardé de parler durant la campagne.

Dans un de ses dépliants, le laboratoire SBK n’hésitait pas à écrire : « l’hépatite B tue plus de personnes en un jour que le sida en un an » ! Ce mensonge a été imprimé et distribué à des centaines de milliers d’exemplaires dans les collèges et les lycées.

Le Dr Bruno Donatini a mené une étude sur l’hépatite B . Ses estimations sont bien différentes de celles diffusées par les laboratoires et répétées par les organismes publics.

Le Dr Donatini estime que le risque d’hépatite grave chez un sujet français « normal » est de l’ordre de 1 pour 50 millions alors que le risque d’accident grave est très élevé. Mais cela, personne ne l’a jamais dit officiellement. Et personne, non plus, n’a jamais avoué que le nombre de victime de la maladie est bien loin d’atteindre celui des méfaits de l’alcool, mais il n’existe pas de vaccins contre l’alcoolisme, aussi en parle-t-on moins.

Soyons sérieux. Etant donné que l’incidence de la maladie avait diminué de façon spectaculaire bien avant la vaccination (douze fois moins de cas en 1992 qu’en 1978), on ne peut que s’inquiéter d’apprendre que les chiffres pour l’hépatite B ont doublé en dix ans. Dans ce cas, il faut surtout éviter de continuer à vacciner qui que ce soit .

MENSONGE N° 9

Il n’existe aucun lien entre le vaccin contre l’HEPATITE B et la SCLEROSE en plaques

« Les médecins apprennent à nos risques et périls. Ils expérimentent et tuent avec une impunité souveraine et le médecin est le seul qui puisse donner la mort. » Pline l’ancien (Histoire naturelle)

Ce leitmotiv qu’il n’existe aucun lien entre ce vaccin et la sclérose en plaques est le principal argument des fanatiques du vaccin, mais, outre cette redoutable maladie, les accidents couvrent un éventail d’une soixantaine d’autres pathologies. Bien avant cette campagne mensongère, la liste des complications signalées était déjà impressionnante : poussées de sclérose en plaques, syndromes de Guillain-Barré, névrites optiques, paralysies faciales, myélites aiguës, lupus érythémateux, polyarthrites, péricardites, uvéites postérieures, urticaire, érythème polymorphe, lichen plan et bien d’autres.

En 1994, le Lancet (Vol.344) avait dénoncé : « La vaccination contre l’hépatite B a été associée à une exacerbation ou même un déclenchement de maladies auto-immunes telles que des scléroses multiples ou des syndromes de Guillain-Barré ». Ainsi, contrairement à ce qu’on prétend, les problèmes liés à la toxicité de la vaccination contre l’hépatite B ne sont pas réservés à la France ?

Le Dr Laurent Hervieux résumait clairement la situation dans le N° spécial de l’Impatient de mai 1997 consacré aux hépatites : « Le vaccin contre l’hépatite est composé d’un antigène HBS dont la structure est partiellement commune avec la myéline qui entoure les nerfs. Les anticorps fabriqués par l’organisme arrivent à confondre les deux et à attaquer la myéline, d’où les complications neurologiques enregistrées avec cette vaccination. »

L’expert, le Dr Marc Girard, a découvert un rapport de la direction générale de la Santé (DGS), du 15 février 2002, selon lequel ces vaccins auraient produit « la plus grande série d’effets indésirables recueillis en pharmacovigilance depuis sa naissance en 1974 », alors que tous nos responsables de la santé persistent à affirmer qu’il n’y en a pratiquement pas.
Dans la littérature internationale, on note également une multiplication récente des articles sur la sclérose en plaques chez l’enfant, maladie exceptionnelle auparavant. Ce risque vaccinal chez l’enfant a également été confirmé par un article publié en 2001 dans les Annales épidémiologiques.

A la suite de ces parutions, les laboratoires ont réagi car, en 2003, les journaux français ont annoncé que des études indépendantes avaient totalement innocenté le vaccin. En vérité, ces deux études, réputées « indépendantes » furent initiées et en partie financées par les fabricants de vaccins, la première par Aventis-Pasteur, et la seconde par Merck qui est, par hasard, associé de Pasteur-Mérieux.
Les marchands de vaccins avec nos instances de santé, n’hésitent pas à proclamer que les accidents survenus après la vaccination relèvent de la pure coïncidence et que les liens que les malades cherchent à établir n’ont aucun fondement scientifique.

En outre, ils continuent à claironner qu’il n’existe « aucun accident » chez les enfants de moins de six ans, alors qu’il n’y a aucune raison pour que le pourcentage de mortalité après ce vaccin, pour cette tranche d’âge, soit en France inférieur à celui des Etats-unis. D’ailleurs le Revahb possède plusieurs dossiers concernant des accidents survenus chez des nourrissons, d’autres associations en détiennent également.

MENSONGE N°10

L’autisme n’a aucun rapport avec les vaccinations

« Lorsque nous laissons au gouvernement le pouvoir de prendre des décisions médicales à notre place, nous acceptons tacitement que l’Etat soit le propriétaire de notre corps » Dr Ron Paul Sénateur américain

L’autisme se manifeste en général au cours des trois premières années, période pendant laquelle les enfants subissent de nombreuses vaccinations. Serait-ce un des curieux « hasards » qui jalonnent le parcours des vaccins ?

Les cas d’autisme se sont multipliés depuis une trentaine d’années.

Alors qu’aux Etats-Unis on avait détecté seulement une poignée de cas les années quarante, vingt ans plus tard, après la généralisation du vaccin diphtérie-Tétanos-coqueluche et l’arrivée du vaccin contre la rougeole, les consultations pour des cas d’autisme devinrent de plus en plus fréquente, et elles ont décuplé avec l’introduction du ROR et du vaccin anti-hépatite B. A présent les scientifiques sont très inquiets.

S’agit-il d’une simple coïncidence, qu’avant l’introduction de ces vaccins, il y a eu si peu de cas et qu’ils se soient multiplié plus de dix fois depuis la vaccination ?

Comment se fait-il qu’on ne cherche pas à approfondir les études sur ces coïncidences temporelles ?

Comment se fait-il que les pouvoirs discréditent toute étude sérieuse mettant en cause la toxicité des vaccins alors qu’ils tiennent compte et plébiscitent certaines études simplistes et non rigoureuses pour les promouvoir ?

Pourquoi les accidents relèvent-ils toujours de coïncidence ?

Pouvoirs publics, médecins, et médias persistent à répéter la même rengaine : « Le vaccin reste la meilleure protection contre la maladie et cette maladie est fréquente et parfois mortelle », alors que les rougeoles sont rarissimes et parfaitement bénignes en Europe, dans les familles qui nourrissent correctement leur enfant.

Les mensonges que nous dénonçons concernent tous les pays de la planète. Ainsi, lorsque débutèrent les premières vaccinations ROR au Japon, le Ministère de la santé signala les effets indésirables dans un cas sur 200 000. Quelques années plus tard, ayant « révisé » les chiffres, le même ministère annonçait un accident pour 3000 vaccinés. Les statistiques ayant été à nouveau « révisées », il fut reconnu un accident pour 1 300 vaccinés, chiffre étrangement différent de ceux précédemment publiés.

Mais en France, nous n’avons aucun problème avec le ROR et l’on continue à administrer ce vaccin et à l’exiger pour l’admission en crèche.

Dans le domaine du mensonge, nos «experts » restent imbattables ! leurs discours insultent l’intelligence et s’apparente à un faux témoignage.

Quand demandera-t-on des comptes à ces spécialistes en rappelant leurs responsabilités ? demande le Professeur Jacques Testart, biologiste réputé.

POUR CONCLURE

« Ce n’est pas le rôle du gouvernement d’empêcher le citoyen de tomber dans l’erreur ; c’est le rôle du citoyen d’empêcher le gouvernement de tomber dans l’erreur »
Robert Houghwout Jackson Président du Tribunal de Nuremberg (1945)

Le dogmatisme médical pourrait être comparé aux pratiques de l’Inquisition qui brûlait tout ce qui dépassait son entendement ou risquait de mettre en péril l’hégémonie de l’Eglise Catholique.

Dans notre pays où Voltaire et Diderot ont théoriquement détrôné la superstition et le fanatisme, la sagesse n’est guère de mise et les lavages de cerveau qui vont bon train causent des dégâts irréparables. Il serait grand temps de nous réveiller et de secouer le joug des idées reçues. Il serait grand temps de penser par nous-mêmes, au lieu de laisser aux « experts » le soin de le faire à notre place.

Devant la puissance financière des laboratoires, leur mainmise sur la politique de santé, sommes-nous condamnés à développer une certaine désobéissance civique ? Refusant aux Pouvoirs Publics le droit de nous imposer ces vaccins inutiles et dangereux au nom de la solidarité publique. Pourquoi ne pas utiliser cette arme que n’apprécient ni les fabricants de vaccins, ni les gouvernements, en attendant qu’une évolution législative respectueuse des droits de l’homme et de la liberté des citoyens s’instaure ?

Pour mieux désobéir et résister, il est prudent d’adhérer à des associations de consommateurs de santé, puisqu’il est bien connu que l’union fait la force.

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BIBLIOGRAPHIE

Livres sur la vaccination qui ont pour auteur Sylvie SIMON

Vaccinations l’overdose Editeur déjà 1999

Déjà vacciné, comment s’en sortir ? (avec le Dr André BANOS) Déjà 2000

Faut-il avoir peur des vaccinations (ouvrage collectif) Déjà 2000

Vaccin hépatite B, les coulisses d’un scandale (avec le Dr Marc VERCOUTERE) MARCO PIETEUR 2001

Les 10 plus gros mensonges sur les vaccins DANGLES 2005 (3ème livre d’une collection « les 10 plus gros mensonges »)

Livres sur la santé

Le réveil de la conscience avec Jacqueline BOUSQUET – Editeur TREDANIEL 2003

Information et désinformation – TREDANIEL 2004

La dictature médico -scientifique – FILIPACCHI – 1997

Exercices illégal de la guérison – MARCO PIETTEUR – 2202

Autres livres sur les vaccinations

Vaccinations, les vérités indésirables – Michel Georget DANGLES – 2000

Vaccinations, erreurs médicales du siècle – Dr Louis de Brouwer Louise Courteau – 1997

Le dossier noir du vaccin contre l’hépatite B – Lucienne Foucras Editions du Rocher – 2004

Vaccination, la grande illusion Bickel (s’adresser à René Bickel, 116 rue de Mittelwihr 68150 OSTHEIM – Tél/Fax : 03 89 47 83 06

Pour en finir avec Pasteur – Dr Eric ANCELET – Marco Pietteur – 1998

Constitution des organismes animaux et végétaux, causes des maladies qui les atteignent – 3 vol. Pr. J. TISSOT – Laboratoire de physiologie générale – PARIS

Dr CHAUFFAT François, vaccinations : le Droit de choisir – Jouvence 2001

Dr COUZIGOU Yves, la longue traque de la variole – Perrin 1986

http://actionsantelibertes.blogspirit.com/archive/2006/10/04/les-dix-plus-gros-mensonges-sur-la-vaccination.html
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MessageSujet: Re: Les 10 plus gros mensonges sur la vaccination   Les 10 plus gros mensonges sur la vaccination Icon_minitimeMer 26 Déc 2012 - 13:50

Lu, lit cet article ça va t'intéresser

JE CROIS QUE TU AS RAISON :

LA PANDEMIE ! il y a déjà un an (2010) :

Petite histoire d’une contagion totalitaire …
La grippe « espagnole » de 1918 fut en fait d’origine états-unienne. Née dans les camps militaires de la première guerre mondiale, elle résultait d’une campagne de vaccination par les laboratoires Rockefeller et de l’injection aux soldats (des deux camps) de vaccins contre la typhoïde produits depuis 1916 dans des usines chinoises par l’injection à des porcs de pus récolté sur des personnes infectées.
Les soldats tombaient malades après l’injection, d’une maladie initialement baptisée « infection para typhoïque » caractérisée par des nausées, vomissements, diarrhées, et pneumonies mortelles.
La maladie s’est ensuite répandue dans le monde entier, tuant 20 à 50 millions de personnes, 40 millions selon l’OMS ;
Ce n’est que plus tard que l’establishment médical a faussement baptisé « grippe espagnole » le virus recombinant mortel répandu par le vaccin de l’empire pharmaceutique Rockefeller. (source : The horrors of vaccinations – Higgins, 1921)
Après l’analyse d’un tissus pulmonaire d’une victime de la pandémie de 1918, conservé dans du formol,
le Dr Jeffrey Taubenberger a rendu public un rapport selon lequel le virus de la pandémie de 1918 était en fait un nouveau virus porcin recombiné avec des fragments de virus aviaire (H5N1) et humains (H3N2) dans la structure même de leur ARN. (source : Science Magazine Report, 21 mars 1997)

Le Dr Taubenberger serait ensuite parvenu à reproduire en laboratoire le « tueur de 1918 » par recombinaison des structures ADN et ARN, en 2003.
La soi-disant « grippe porcine » ayant infecté et tué des être humains à Mexico au cours de ce printemps 2009 est un nouveau type de sous virus A/H1N1 qui n’avait jamais été détecté chez des porcs ni chez des humains, comme l’ont confirmé l’OMS et le CDC (centre de contrôle des maladies d’Atlanta). Il s’agit d’un triple recombinant comprenant des segments de gènes d’origine humaine, porcine et aviaire. (source : http://www.ncsl.org/?tabid=17089 )
Cette définition publiée par le NCSL (bureaucratie de décideurs politiques non élus liée à l’administration Bush) est identique aux premières découvertes de Taubenberger de 1997, qui ont permis de ressusciter le « virus de 1918 » six années plus tard.
Il s’agit très certainement d’une coïncidence.
On relève également trace en 1976 d’une contamination de grippe porcine (référencée H1N1) apparue à Fort Dix (New Jersey) – donc également dans un camp militaire états-unien - avec le décès post vaccinatoire de 200 soldats. Elle résulte vraisemblablement d’une expérimentation par un laboratoire militaire.
Au 12 juin 2009, l’OMS vient d’annoncer une alerte de niveau 6 (le niveau le plus élevé) relative à une pandémie qui serait liée à un virus de la grippe A (H1N1).
Ce « nouveau » virus pourrait résulter d’un contact « accidentel » en laboratoire. C’est la théorie de l’accident.
Le jeudi 5 mars du printemps 2009 était annoncé qu’un vaccin expérimental avait été contaminé par le virus H5N1 de la grippe aviaire.
La presse canadienne indiquait que lors d’expérimentations, les virus de la grippe humaine saisonnière (H3N2) et de la grippe aviaire (H5N1) avaient été mis en contact - au risque de produire un virus hybride qui pourrait se transmettre à l’homme. Cette manipulation a été réalisée par les laboratoires canadiens BAXTER.
Des échantillons auraient été envoyés en Autriche (à l’entreprise contractante Avir Green Hills Biotechnology de Donau) et diffusés sous forme de vaccin expérimental, les fournisseurs « perdant le contrôle de la situation ».
Le produit contaminé aurait été notamment envoyé à des sous-traitants en Allemagne, Slovénie et République Tchèque.
Par pure chance, c’est le sous-traitant Tchèque qui aurait découvert l’anomalie après avoir injecté ce vaccin à des furets, morts après l’injection. Et découvert après analyse qu’il ne s’agissait pas de H3N2 mais de H5N1.
Le laboratoire Tchèque a alerté l’OMS qui déclare « suivre de près cette bévue » qui pourrait avoir des conséquences graves... (source : Toronto Sun)

Ce « mélange de souches », appelé réassortiment, est l’une des deux manières de créer un virus pandémique.
Car en fait, la grippe aviaire (H5N1) peut tuer facilement mais est plutôt difficile à attraper, alors que le virus saisonnier H3N2, lui, se transmet facilement d’homme à homme.

Des sans-abri polonais seraient d’ailleurs récemment décédés suite à l’inoculation d’un vaccin expérimental contre la grippe. (Le Telegraph)
Un point a été réalisé sur cette affaire de « grippe aviaire » par le journaliste Alex Jones qui a interrogé le Docteur Rebecca Carley : « un vaccin expérimental contre la grippe est testé par un sous-traitant polonais et inoculé. Et il tue les sujets. »
« En résumé – déclare le Dr Carley - ils essaient de causer la pandémie. Ils ont déjà stocké plus de 250 millions de doses de vaccin de grippe aviaire. La durée de vie de ces vaccins est limitée. Alors ils vont tenter de faire démarrer cette pandémie rapidement, pour enfin vacciner les gens, ce qui causera la pandémie. (…) Au bas de mon site drcarley.com, vous verrez un article intitulé « US control bird flu vaccines over bioweapon fears ». Il s’agit d’un article d’Associated Press (AP) qui indique que « le gouvernement américain s’apprête à utiliser ses doses de vaccins de grippe aviaire pour vacciner la population en vue d’une future attaque par armes bactériologiques utilisant la grippe aviaire ». Alors, lorsqu’on regarde ce qui s’en vient, c’est un génocide. C’est une réduction de la population et ça se passe maintenant. Vous voyez, ceci est vraiment intentionnel, parce que le virus H5N1 de la grippe aviaire n’a pas la capacité de contaminer des humains dans un scénario normal.
Donc en le combinant avec un virus de la grippe humaine saisonnière (H3N2) ils essaient intentionnellement de créer l’hybridation entre les deux virus. Et c’est de cette façon qu’ils vont faire attraper le virus de la grippe aviaire au monde, parce qu’il est très virulent. Et les scénarios liés à la grippe aviaire sont horrifiques, parce que le virus te fait cracher du sang et tu suffoques dans ton propre sang. »
Lors de cet entretien est également évoquée la possibilité d’un épandage par voie aérienne (chemtrails) de ce virus, qui s’avérerait mortel dans 60% des cas.
L’OMS « veut 5 milliards de vaccins contre la grippe A /H1N1 ».
Et a objectivement déclenché une campagne de terreur, qui à première vue parait hors de proportion avec le nombre de morts officiellement évoqués, spécialement si l’on compare avec les nombreux décès annuellement imputables à la grippe saisonnière humaine (et survenant sur des personnes dont le système immunitaire est déjà affaibli).
La France resterait au « niveau 5 » pour l’instant, mais préparerait « un plan de bataille sans précédent pour cet automne », avec à la clef une campagne de vaccination OBLIGATOIRE pour tous les Français de plus de trois mois.
Le Code de la santé publique requiert à cet égard le « consentement avisé du patient », et le gouvernement va donc devoir préalablement modifier les textes pour y inclure cette obligation et des « lois d’exception ».
Il est hors de doute que nos très malléables députés et sénateurs s’y prêteront avec une complaisance peut-être proportionnelle aux privilèges dont ils bénéficient et à l’endormissement de la conscience dont certains esprits critiques avancent qu’il a pu contribuer à leur assurer un accès à la représentation nationale.

L’automne semble en effet une bonne option stratégique pour des mesures « globales », la population française étant trop dispersée sur le territoire durant les mois de juillet/août pour permettre des mesures coercitives de confinement, explicitement contenues dans les « niveaux » d’alerte.
Les dits niveaux d’alerte établis en France, en correspondance avec les directives de l’OMS, ont été rédigées par le Secrétariat général de la défense nationale et prévoient des mesures très contraignantes, gérées par le ministère de l’Intérieur et non pas par la Croix Rouge.
Ils incluent notamment des séquestrations d’élevage, une réglementation de la chasse, des destructions de denrées, la mise en place de « barrières sanitaires » et de contrôle de la circulation, la fermeture des crèches et écoles, un enseignement (unique !) assuré par vidéo, une vaccination obligatoire des populations, l’interdiction des manifestations publiques, le pouvoir de réquisitionner les personnes, les biens et les services, le rappel des réservistes, des quarantaines (camps ?), le déplacement des activités économiques dans des zones moins touchées, voire la destruction des propriétés « contaminées », etc.
Les « soignants », « possibles vecteurs de la grippe », et qui sont actuellement nombreux à objecter à une obligationde vaccination, doivent être convaincus et vaccinés (selon l’Institut de veille sanitaire) sous peine de ne pouvoir venir travailler pour des motifs de « protection humanitaire » (et donc d’être privés de leurs ressources, c’est dit).
Ces mesures s’analysent en conditionnement des masses sous le couvert d’allégations spectaculaires chargées émotionnellement, confiscation de l’indépendance alimentaire, de l’énergie et des moyens de production, confinement et « concentration » des populations, mise en place d’un état autoritaire.
Le président Sarkozy (qui a étrangement plusieurs fois utilisé lors de ses discours les termes de « Nouvel Ordre Mondial » et dont l’histoire se souviendra probablement pour avoir été le dirigeant qui aura fait autoritairement œuvre de destruction de l’indépendance nationale contre l’avis du Peuple Français pourtant clairement exprimé par référendum – ce que certains professeurs de droit ne craignant pas pour leur carrière, comme Anne-Marie le Pourhietont pu qualifier de « coup d’état et de haute trahison » - cf. Internet) vient d’autoriser une dépense d’un milliard d’euros.
Ce milliard d’euros est affecté à l’achat de 100 millions de vaccins destinés à protéger les populations contre le virus Influenza A H1N1 de la grippe porcine. (source : quotidien le JDD du 30 mai 2009)

Il est accessoirement à noter qu’il est contesté que ledit virus Influenza H1N1 ait pu être isolé, photographié au microscope électronique, ou classé chimiquement, ni par l’OMS ni par le CDC états-unien, ni d’ailleurs par des virologistes français… Selon la FDA, le « test » autorisé à la hâte par cette administration et sorti prématurément pour contrôler le H1N1 « n’est pas éprouvé ». Il n’existerait « aucune preuve médico-légale » que les morts attribuées au H1N1 (d’ailleurs incinérés !) soient effectivement dues à ce genre de virus ». (sources : http://bridge.over-blog.org/article-32249336.html
http://www.alterinfo.net/Le-plan-secret-de-vaccination- contre-la-grippe-porcine-de-Sarkozy_a33052.html )

Cette surprenante information ajoute à la confusion qui semble caractériser le débat public, pour peu que l’on ne se contente pas d’une hypnose collective favorisée par la création d’une panique autorisant beaucoup d’approximations. A cet égard, d’ailleurs, une « pandémie » (donnée purement géographique) ne caractérise nullement la gravité d’une maladie, mais simplement l’existence de deux foyers séparés et autonomes.
La préparation des esprits à des « lois d’exception » paraît ainsi reposer exclusivement sur des allégations, une confusion entretenue, du spectaculaire et de l’émotionnel c'est-à-dire sur des manipulations.

Comme d’ailleurs le dogme de l’efficacité vaccinale, puisqu’une enquête du CPAM de Nantes en 1993 sur la grippe saisonnière a montré que le taux d’état grippal était de 13% chez les non vaccinés, contre 14% chez les vaccinés (avec une dépense en soin de santé supérieure de 30% chez les vaccinés). Cette mesure reste toutefois « recommandée ».
Rendre obligatoire un médicament contre une maladie supposée non encore caractérisée, et en tout cas mutante, semble douteux, spécialement dans le cadre d’une militarisation de la santé publique et d’une (in)utile panique. Comme pour le SIDA/HIV, le C02 responsable du réchauffement climatique et la terre plate, certains parlent plus de « décision politique que de preuve scientifique ».

Cette « pandémie » pourrait être conjuguée à une crise d’effondrement monétaire majeure, destinée à nous acheminer vers une monnaie virtuelle unique.
Cette crise financière et sociale, que certains experts européens annoncent pour cet automne comme une « crise systémique », ne serait selon certaines sources pas fortuite et viserait à générer des troubles sociaux et des troubles à l’ordre public tels que les pouvoirs publics « ne pouvant y faire face », les populations seraient pour un temps livrées à elles-mêmes.
L’Ordre enfin rétabli, des mesures de sécurité liberticides seraient alors accueillies avec soulagement par les populations, ce qui semble le but recherché.

Le support de cette monnaie unique qui ne serait plus que virtuelle est un implant sous-cutané (ou puce électronique).
(cf. site de l’industriel Verichip :
http://www.verichipcorp.com/content/company/rfidtags )

Le schéma sous-jacent à ces deux crises qui peuvent se conjuguer pour n’en faire qu’une semble rester le même : on crée un problème induisant des peurs (médias à l’appui), pour induire une solution bénéficiant à terme de l’adhésion de populations qui, hors la création d’un état de panique, se seraient vigoureusement opposées à une confiscation des procédures démocratiques, du débat contradictoire, des libertés publiques, de l’indépendance alimentaire des nations, ainsi que de l’impératif de preuves scientifiques et de l’approbation d’une conscience éclairée et du libre consentement des « patients » préalablement à tout traitement médical.

L’hypothèse de base de « l’accident », relayée par l’OMS (organisme infiltré par des structures telles que le CFR qui n’ont rien d’humanitaire) pour créer une panique, semble indiquer justement que le vaccin de la grippe (cf. épisode Baxter) peut contenir des substances hautement morbides suite à une manipulation en laboratoire, dont nombre d’experts s’accordent à dire qu’elle ne peut être fortuite et est de nature criminelle.
La pandémie Mexicaine de ce printemps (également riche en coïncidences) semble en fait selon certains observateurs constituer un « essai » afin de déterminer comment réagit une population isolée et manipulée, en l’attente de la disponibilité massive des vaccins attendus pour la « grande offensive ».
(cf. entretien Essania - A. Givaudan)
Il est vrai que le ministère de la Santé communique qu’anticipant un probable retour du virus à l’automne, le gouvernement va débourser près d’un milliard d’euros pour acheter des vaccins. Objectif : immuniser tous les Français. Les autorités annonceront à l’automne si elles choisissent de rendre le vaccin obligatoire. « Nous seront prêts à opérer dans un laps de temps très court ». ( http://www.lejdd.fr/cmc/societe/200922/la-france-commande-100-millions-de-vaccins_213201.html )
Comme le Dr Rebecca Carley et nombre de scientifiques « indépendants » qui cherchent actuellement à alerter l’opinion mondiale, le Dr Léonard G. Horowitz (diplômé d’Harvard) écrit que « si la grippe aviaire devient réellement une pandémie redoutable, ce sera à la suite d’une volonté politique délibérée ». L’intéressé qui parle avec force de« génocide médicalement assisté » indique que les autorités sont en train de fabriquer un vaccin « dont l’effet sera précisément de répandre cette pandémie dans le monde entier, afin de réduire la population mondiale ». Tous ces avis sont du domaine public, sur Internet.
Cette thèse n’est d’ailleurs pas d’emblée absurde et retient notoirement, régulièrement et avec constance l’attention de certaines sphères. Robert Mc Namara, ancien président de la Banque Mondiale et secrétaire d’état des U.S.A. a notamment et explicitement déclaré que « la dépopulation devrait constituer la plus haute priorité de la politique étrangère des Etats-Unis vis-à-vis du tiers-monde. (…) Il faut prendre des mesures draconiennes de réduction démographique contre la volonté des populations. Réduire le taux de natalité s’est avéré impossible ou insuffisant. Il faut donc augmenter le taux de mortalité. Comment ? Par des moyens naturels : la famine et la maladie. » On se rappellera utilement à cet égard la pratique des couvertures empoisonnées aux germes de typhoïde et de grippe, ayant concouru à l’extermination des natifs amérindiens.

Et on pourrait bien faire de garder en mémoire l’épisode du Cheval de Troie.
« Timeo danaos et dona ferentes »…
A l’heure où la validité du théorème du « trou d’ozone et du CO2 gaz à effet de serre » est vivement remise en question par d’éminents scientifiques (d’ailleurs qualifiés par les médias « d’hérétiques »), de plus en plus nombreux à contester le « dogme officiel » à attribuer le réchauffement climatique à une activité solaire, le chercheur canadien Alfred Lambremont Webre évoque des « moments très difficiles auxquels l’espèce humaine aura bientôt à faire face (…) incluant notamment des pandémies et la probabilité d’une tempête solaire affectant tous les systèmes électriques de la planète ».
Lorsque le discours officiel devient ainsi visiblement sujet à caution, il est à noter que parmi les nouveautés en matière de vaccination, on trouve les vaccins à cristaux liquides.
L’ADN est lui-même constitué de cristaux liquides, et l’idée est d’injecter dans l’organisme de l’ADN nu, c'est-à-dire des séquences d’ADN répétitives (cet ADN peut-être synthétique) qui sont des supports d’informations cellulaires sur lesquels on vient greffer soit des séquences d’ADN viral, soit des gênes codants pour des protéines virales ou bactériennes. (cf. le rapport du Sénat http://89.202.136.71/RAP/o99-020/o99-0206.html )

L’intégration de ce patrimoine génétique à nos cellules est très rapide et on ne peut plus contrôler ensuite les synthèses protéiques qui se font, puisqu’elles sont intégrées à notre patrimoine.
Quel est donc le vaccin que le gouvernement français s’apprête à financer à prix d’or et à rendre obligatoire pour tous les français de plus de trois mois ?...
Certains indiquent que cet ADN étranger implanté par vaccin constitue une « antenne » programmable de l’extérieur à des fins non pas humanitaires de santé, mais bien de contrôle des populations à des fins politiques extrêmement douteuses.




Ces technologies de modification du comportement des populations (voire de ralentissement du système immunitaire ou de production de toxines mortelles) à l’aide de fréquences gigahertziennes (micro-ondes) existent et sont notamment relayées par l’injection de cristaux liquides et l’implantation d’une puce électronique sous-cutanée, pour court-circuiter la conscience individuelle (toujours « pour votre bien, pour votre sécurité », dormez en paix !)…

Cf. Conférence de presse de décembre 1996 à Montréal (Québec) de Serge Monast, journaliste de l’Agence Internationale de Presse Libre décédé le 5 décembre 1996 à l’issue de sa conférence, dans des conditions « d’arrêt cardiaque » jugées suspectes. Serge Monast « dont les informations semblent se confirmer les unes après les autres indiquait être informé par des politiciens repentis et des agents des services secrets écœurés ». Un essai d’infection d’enfants par des cristaux liquides aurait été réalisé au Québec en 2003 sous couvert de vaccinations (autoritaires en milieu scolaire) contre une épidémie de méningite annoncée par.. l’OMS à grand renfort de médias. Le protocole, décrit comme « inusité », comprenait l’emploi d’une seringue « à air comprimé » spécifique et commune à l’injection de cristaux liquides et de transpondeurs. L’enquête réalisée suite à quelques décès « n’aurait pas permis d’identifier le laboratoire ayant fabriqué les vaccins ».
Pour la réalité de l’implant, Cf. http://www.verichipcorp.com/
Existe également, bien qu’il soit peu évoqué lors du « journal de vingt heures », le système HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program) de manipulation des climats et de déclenchement de séismes.
Les champs d’antennes gigahertziennes en sont parfaitement visibles près de Gakona en Alaska sur Google Earth.
Les vidéos diffusées sur Internet et toujours disponibles montrant un « effet d’aurore boréale » trente minutes avant le récent et dévastateur séisme chinois laissent à entendre l’utilisation de HAARP dans cette catastrophe « naturelle ».
http://www.newsoftomorrow.org/spip.php?article4189
« Sa capacité d'influencer l'ionosphère serait beaucoup plus importante qu'admise officiellement. Ces 180 antennes permettraient de (faire des recherches pour) pouvoir modifier le climat, interrompre toute forme de communication hertzienne, détruire ou détourner avions et missiles transcontinentaux et finalement, influencer les comportements humains, tout cela via des actions sur l'ionosphère.
http://fr.wikipedia.org/wiki/High_frequency_active_auroral_research_program
http://www.rocsfamilystory.net/blog/images/2008septembre/haarp.jpg

A noter : depuis le vendredi 15 octobre 2004 - L’agence de sécurité sanitaire américaine (Food and Drug Administration, FDA) autorise désormais l’usage de puces à identifiant radio RFID dans le corps humain. (cf. Digital Angel)

Le revenu annuel de VERICHIP CORPORATION (une filiale de Applied Digital) dépassait en 2006 pour ses systèmes de « protection infantile » baptisé HUGS (câlins !!!) un revenu de 4 millions de dollars se basant sur une utilisation de cet implant électronique sous-cutané par plus de 900 structures.
Selon un communiqué de presse de Verichip Corporation en date du mercredi 31 mai, cet implant « est modulaire dans sa conception, ce qui permet aux infrastructures d'y ajouter des fonctions si nécessaire ». C’est le moins que l’on puisse dire.

Au menu de ces fonctions : identification, support d’une monnaie qui ne sera plus que virtuelle –marginalisant à terme tous ceux qui refuseraient l’implant -, localisation du porteur, modification du comportement, déclenchement de charge virale…
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MessageSujet: Re: Les 10 plus gros mensonges sur la vaccination   Les 10 plus gros mensonges sur la vaccination Icon_minitimeMer 26 Déc 2012 - 18:20

Je redoute de lire.
Si je le fais, ma mère va encore moins m'aimer, parce que je refuserait de ma vacciner Rolling Eyes
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MessageSujet: Re: Les 10 plus gros mensonges sur la vaccination   Les 10 plus gros mensonges sur la vaccination Icon_minitimeJeu 27 Déc 2012 - 1:26

J'en avais entendu parler de l'histoire de grippe espagnole et de l'histoire des cochons, de la grippe H1N1 et tout ce qui disait derrière. Quand j'avais regardé des infos sur ça, ça avait l'air plausible.

Par contre, quand je lis "Alex Jones" ou "Anna Givaudan", je dois dire qu'il y a à boire et à manger. ^^
Je reprends quelques extraits de ce qui devait avoir lieu en 2009 :
Citation :
La France resterait au « niveau 5 » pour l’instant, mais préparerait « un plan de bataille sans précédent pour cet automne », avec à la clef une campagne de vaccination OBLIGATOIRE pour tous les Français de plus de trois mois.
Le Code de la santé publique requiert à cet égard le « consentement avisé du patient », et le gouvernement va donc devoir préalablement modifier les textes pour y inclure cette obligation et des « lois d’exception ».
Il est hors de doute que nos très malléables députés et sénateurs s’y prêteront avec une complaisance peut-être proportionnelle aux privilèges dont ils bénéficient et à l’endormissement de la conscience dont certains esprits critiques avancent qu’il a pu contribuer à leur assurer un accès à la représentation nationale.

Citation :
L’automne semble en effet une bonne option stratégique pour des mesures « globales », la population française étant trop dispersée sur le territoire durant les mois de juillet/août pour permettre des mesures coercitives de confinement, explicitement contenues dans les « niveaux » d’alerte.

Citation :
Ils incluent notamment des séquestrations d’élevage, une réglementation de la chasse, des destructions de denrées, la mise en place de « barrières sanitaires » et de contrôle de la circulation, la fermeture des crèches et écoles, un enseignement (unique !) assuré par vidéo, une vaccination obligatoire des populations, l’interdiction des manifestations publiques, le pouvoir de réquisitionner les personnes, les biens et les services, le rappel des réservistes, des quarantaines (camps ?), le déplacement des activités économiques dans des zones moins touchées, voire la destruction des propriétés « contaminées », etc.

Citation :
Le support de cette monnaie unique qui ne serait plus que virtuelle est un implant sous-cutané (ou puce électronique).
(cf. site de l’industriel Verichip :
http://www.verichipcorp.com/content/company/rfidtags )
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